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Communiqués de presse 2023

Par Shimon Samuels, directeur des Relations internationales

Paris, le 3 août 2023

Dans les années qui ont suivi l’attentat de la synagogue Copernic à Paris, la communauté juive française s’est galvanisée pour créer des stations de radio juives et des cours de formation afin de protéger ses institutions religieuses et culturelles.

Le 30 octobre 1980, c’était la fête de Souccot, j’accompagnais Aliza Shagrir, qui venait d’arriver d’Israël, à l’angle de la rue Copernic. Alors que je continuais mon chemin dans une rue adjacente, elle a bifurqué pour rencontrer sa mort devant la synagogue, aux mains d’un terroriste qui a depuis été identifié et qui est toujours en fuite.

À cette époque, les attentats contre les Juifs étaient importés du conflit du Moyen-Orient.

Lettre ouverte à Audrey Azoulay, directrice générale de l’Unesco, Paris
par Shimon Samuels, directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal

Paris, le 2 août 2023

Madame la Directrice générale,

Le Centre Simon Wiesenthal a le plaisir de vous exposer ici sa contribution au Patrimoine mondial :

- avec l’Argentine pour Moisés Ville, le village fondé en 1889 par des immigrants juifs fuyant les pogroms de la Russie tsariste et de l’Europe de l’Est ;

Lettre ouverte à Élisabeth Borne, Première ministre de la France
par Shimon Samuels, directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal

Paris, le 30 juillet 2023

Madame la Première Ministre,

Nous nous sommes rencontrés en février dernier et nous avons discuté de votre plan quadriennal contre le racisme et l’antisémitisme, destiné en particulier à l’éducation des jeunes.

Notre Centre a salué votre intention d’émettre des mandats d’arrêt contre les personnes coupables d’incitation à l’antisémitisme mais couverts sous le masque de la « liberté d’expression ».

Article de Shimon Samuels publié en anglais dans The Jerusalem Post
le 23 juillet 2023
https://www.jpost.com/opinion/article-752033?dicbo=v2-ykWE9Ra

Vingt-neuf ans après l’atroce attentat du centre Amia, il est crucial de s’efforcer d’obtenir justice.

23 July 2023 1
En 2019, le président argentin de l’époque, Mauricio Macri, prenait la parole lors d’un rassemblement
à Buenos Aires à la mémoire des victimes de l’attentat à la bombe de 1994 au centre communautaire
Amia, marquant son 25e anniversaire (photo Agustin Marcarian/Reuters).

Le 18 juillet 1994 à 9 h 53, une voiture piégée dévastait le centre juif Amia (Association mutuelle israélite argentine), faisant 85 morts et plus de 300 blessés.

En ce mois de juillet 2023, les blessés et les familles des victimes exigent à nouveau que les auteurs de l’attentat, le Hezbollah et ses commanditaires iraniens, soient traduits en justice.

Par le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels

Genève, le 13 juillet 2023

Le 10 juillet, lors de sa 53e session, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, à Genève, a effectué l’un de ses exercices préférés et tristement célèbres – discuter du point 7 « Violations des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés », c’est-à-dire épingler, diaboliser, diffamer, délégitimer et appliquer deux poids deux mesures à l’encontre d’Israël.

Sa Rapporteuse spéciale, l’avocate Francesca Albanese, professe « dévouement, rigueur et impartialité ».

Pourtant, son rapport sur le point 7 est une litanie d’inexactitudes et d’incohérences, qui équivalent à une incitation à la haine. Mme Albanese est peut-être dévouée, mais elle manque de rigueur et n’est nullement impartiale.

Voici quelques exemples :