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Communiqués de presse 2023

Paris, le 7 juillet 2023

Le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, relevait avec étonnement « la clémence dont font preuve les juges français lorsqu’il s’agit des islamistes ».

Nous étions invités dans les bureaux d’un syndicat de magistrats. Tandis que nous patientions, nous avons remarqué sur un tableau d’affichage des photos de partisans de la campagne BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions contre Israël). Les activistes avaient été photographiés dans un supermarché casher, en train de saccager des étagères portant des produits alimentaires.

Sarah Halimi a été torturée par son voisin islamiste aux cris de « Allahou Akbar » alors qu’il la jetait de son balcon du troisième étage. Le juge a déclaré le meurtrier inapte à subir son procès car il souffrait d’effets causés par le cannabis.

Paris, le 3 juillet 2023

Dans une lettre adressée à Emmanuel Macron, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, portait à son attention que, « depuis les attentats terroristes de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher en 2015, le quotient de haine des Juifs dans les manifestations à travers la France a été considérable... des rassemblements des Gilets jaunes aux manifestations anti-masques/antivax, où les anarchistes, l’extrême droite et les islamistes ont infiltré les mouvements, rendant les slogans antisémites viraux et vandalisant tout ce qui était juif ».

Aujourd’hui, les manifestations après la mort tragique d’un adolescent révèlent une indignation sincère, mais noyée dans la violence inacceptable d’opportunistes et de délinquants. Malgré le couvre-feu, il y a eu jusqu’à présent des centaines de blessés et plus de deux mille arrestations...

Genève, le 29 juin 2023

Le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, a appelé Alain Berset, président de la Confédération suisse, à interdire un événement célébrant la haine et la terreur contre l’État d’Israël et la diaspora juive.

L’exposition sur « La résistance palestinienne » doit s’ouvrir ce vendredi 30 juin et se tenir jusqu’au 8 juillet au Cercle du Mail du Parti du travail, rue du Vieux-Billard, à Genève. Les affiches exposées sont de Marc Rudin, alias Jihad Mansour, un artiste né en Suisse et décédé en avril dernier. Il a été profondément impliqué, depuis les années 1970, avec le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), inscrit sur la liste des organisations terroristes par l’Union européenne, le Royaume-Uni et les États-Unis.

Paris, le 25 juin 2023

Monsieur le Premier Ministre,

Notre Centre vous félicite pour la réunion que vous avez tenue la semaine dernière sur la sécurité de la communauté juive suédoise.

Cependant, cette semaine, la Suède n’a pas rejoint le groupe des vingt-sept pays, guidés par les États-Unis, qui dénonçaient la Commission d’enquête onusienne pour sa position haineuse à l’encontre des Juifs. Cette commission est un organe du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève.

Nous portons à votre attention le cas de Hani Dweik, chargé de communication à l’Institut suédois du dialogue pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.

Genève, le 20 juin 2023

Une délégation du Centre Wiesenthal, dirigée par son directeur des Relations internationales, Shimon Samuels, assistait aujourd’hui à une session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDH) sur la Commission d’enquête, censée se concentrer sur « l’enquête sur les violations des droits de l’homme dans les Territoires palestiniens occupés (TPO), y compris Jérusalem-Est, et en Israël », en particulier en ce qui concerne la société civile, les médias et les ONG.

En vérité, cette Commission d’enquête épingle systématiquement Israël – accusé, entre autres crimes odieux, de « harcèlement, colonialisme, déportation, détention et meurtres arbitraires, campagnes de diffamation, atteinte à la vie privée et apartheid... » –, tout en minimisant de manière flagrante toute violation des droits de l’homme de « l’Autorité palestinienne » et de « l’autorité de facto de Gaza » (définition euphémique du groupe terroriste Hamas).

En raison de son mandat illimité – soit un financement perpétuel, sans précédent, par les États membres de l’ONU – et des attaques unilatérales contre Israël, cette Commission d’enquête est critiquée par un nombre croissant de pays – ils sont actuellement vingt-sept, guidés par les États-Unis. Tous remettent en question l’impartialité et l’indépendance de cette commission. À terme, ils demandent des vérifications à son égard et, éventuellement, sa résiliation.