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Communiqués de presse 2021

Paris, le 28 juillet 2021

La société Spreadshirt a immédiatement pris les mesures suivantes sur la base des demandes du Centre :
- des excuses
- la suppression immédiate du tee-shirt incriminé
- son partenaire qui a imprimé le pictogramme a été bloqué
- aucun tee-shirt n’a été vendu
- Spreadshirt étudie l’intégration de la définition de l’antisémitisme de l’IHRA dans son règlement.

Réponse (en anglais) de Spreadshirt datée du 27 juillet à notre lettre du 23 juillet*

« Loin d’être une question futile, l’utilisation de la symbolique nazie est politiquement motivée. La banalisation de l’Holocauste existe depuis des décennies, mais elle sert aujourd’hui d’outil pernicieux à l’antisémitisme. »

Paris, le 23 juillet 2021

Dans une lettre adressée à Julian de Grahl, PDG de Spreadshirt – un groupe international d’impression rapide de textiles basé à Leipzig, en Allemagne –, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, Shimon Samuels, lui signifiait « être scandalisé à la vue d’un tee-shirt Spreadshirt arborant l’étoile jaune, assimilant ainsi les ‘‘antivax’’ manifestant cette semaine aux victimes juives des nazis ».

Éditorial de Shimon Samuels publié en anglais dans The Times of Israel
le 19 juillet 2021

https://blogs.timesofisrael.com/today-27th-commemoration-of-amia-bombing/

En 2006, une organisation franco-palestinienne me poursuivait pour diffamation. Pour attester ma bonne foi, il me fallait des témoins.

Au nombre de ceux-ci figurait Hector Timerman, alors ambassadeur d’Argentine auprès de l’ONU. Il a écrit sur ma visite à son père, Jacobo, pendant la dictature militaire. Il a ajouté que cette visite l’avait aidé à se réfugier en Israël.

En 2013, alors qu’il était ministre des Affaires étrangères, Hector Timerman m’a appelé pour me dire qu’il était impliqué dans un mémorandum avec l’Iran qui avait pour but de faire oublier l’attentat contre Amia. En contrepartie, d’importantes sommes devaient servir à des « achats » en Argentine. Il affirmait que c’était un mensonge.

Jérusalem, le 18 juillet 2021

20 July 2021
Shimon Samuels, directeur des Relations internationales du Centre Simon Wiesenthal,
au podium du Forum, organisé par le ministère israélien des Affaires étrangères
(photo Ministère israélien des Affaires étrangères).
 

Plan d’un rapport sur le terrain :

A. Les trois vagues de terreur islamiste en France
1) Attentat à la bombe contre la synagogue Copernic de 1980, prélude à 73 attaques contre des cibles juives et israéliennes en Europe de l’Ouest, dont 29 en France jusqu’en 1982
2) Transplantation de l’Intifada de l’an 2000 en Europe, les attaques de musulmans radicaux natifs d’Europe
3) Attentats par des loups solitaires : l’école de Toulouse, Sarah Halimi, le supermarché Hyper Cacher

B. Le 27e anniversaire de l’attentat à la bombe contre le centre juif Amia à Buenos Aires, impliquant l’Iran

C. L’extrême gauche embrasse le djihadisme à la Conférence mondiale de Durban contre le racisme (Afrique du Sud) et au Forum social mondial de Porto Alegre (Brésil)

D. Les salons du livre arabes : incitation à la haine et à la violence par le biais de livres axés sur la radicalisation.

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« Pour que le mal se propage, il suffit que les hommes bons ne fassent rien. » (Simon Wiesenthal, 1908-2005)

Traduction indisponible

Jerusalem, 16 July 2021

16 July 2021

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“For evil to flourish, it only requires good men to do nothing.” (Simon Wiesenthal, 1908-2005)